Dans un silence artificiel,
De
mes doigts engourdis,
J’envoie
des étincelles
Vers
la voûte infinie.
Déjà
les nébuleuses refroidissent :
Elles
tournent puis s’éparpillent,
Elles
s’éloignent de toute abscisse…
Dans
ces ténèbres, le néant brille.
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